
Entreprendre sa conscience écologique
Photo : Alga – Vannerie, 2017-2021 Samuel Tomatis, Centre Pompidou, exposition « Réseaux-monde »
Quelles actions écologiques avez-vous mis en place dans votre entreprises depuis le dernier rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) ?
Avez-vous réfléchi aux premiers pas à réaliser pour lancer le mouvement ?
Quel est votre plan personnel et d’entreprise pour changer le cour des choses ? Pour nous sauver ?
Nous avons 3 ans pour agir ensemble, pour trouver des solutions. Nous sommes tous responsables de l’état de la planète.
La peur ne nous sauvera pas et malheureusement nos croyances nous limitent dans notre progression.
Je suis intimement persuadée que :
- Le chemin se créera en l’initiant ensemble,
- La consommation raisonnée est la solution,
- La création de business responsables et éthiques est l’avenir,
- Notre économie restera forte car l’évolution sera fluide et que nous la soutiendrons autrement,
- Nous trouverons la solution en agissant,
Essayons ensemble, au pire ça marche !
J’ai choisi de faire ma part en vous accompagnant à trouver des solutions écologiques et financières dans votre entreprise.
Pour vous aider à faire des choix responsables.
Etablir un plan ensemble, chercher des solutions pour renverser la situation et faire mentir le rapport du GIEC.
Mettre au service de votre entreprise mes compétences techniques et ma sensibilité pour réussir.
Je suis prête à me relever les manches pour nous sauver et vous ?
Si vous êtes appelé, Contactez-moi
Découvrez ma méthode inspirée des arts, du beau et du vivant.
Ce week-end, en visitant l’exposition « Réseaux-Mondes » du centre Beaubourg à Paris, je suis rentrée en connexion avec cette œuvre, Alga, de Samuel Tomatis, designer, défenseur d’une approche durable, engagée et collective.
Une source d’inspiration pour entreprendre sa conscience écologique.
A partir de la transformation d’algues invasives et nocives, Monsieur Samuel Tomatis a créé une matière première durable destinée à la production industrielle.
Je me suis arrêté devant cette œuvre, tout d’abord pour sa beauté, puis après avoir lu le descriptif, je me suis demandé :
« Pourquoi les entrepreneurs ne prennent pas en main l’avenir de leurs produits pour qu’ils soient moins nocifs pour les êtres vivants ? Pourtant ce sont des créatifs ! »
Devant cette toile j’ai repensé à une discussion que j’ai partagée avec des entrepreneurs sur la politique de recyclage de leur machine.
Et leur vision est :
« Tu sais Fabienne, elle dure longtemps la machine et on fait déjà des économies d’énergies. »
C’est vrai que je suis contente quand mes interlocuteurs ont une conscience écologique. Je pense que nous ne pouvons pas changer brusquement nos pratiques et qu’une évolution constante est nécessaire. Je n’impose pas mes idées quand je sens que mon partenaire n’est pas prêt à les entendre. Je préfère semer des graines pour lui laisser le temps de cheminer. Je sais que pour apprendre il faut du temps, des répétitions, de la motivation. J’applique cette méthode pour qu’un jour ils se disent :
« Je n’ai pas le choix, je dois trouver une solution ».
Mais que c’est long !
Devant cette œuvre, je me suis posée des questions sur ma pratique.
J’ai eu envie de hurler devant mon manque de combat pendant certaines discussions. C’est ma nature et la douceur peut avoir un effet bénéfique, ouvrir la discussion.
Je crois plus à la pédagogie, l’échange sur les croyances et le respect réciproque des idées de chacun qu’à la confrontation d’idées.
Moi aussi je suis tiraillée parfois devant l’ampleur des actions à mener. Je réfléchis, je me renseigne pour pouvoir effectuer des choix en conscience pour commencer ma part, en attendant d’évoluer et de pouvoir faire mieux.
Je ne demande pas que tous les produits soient écologiques du jour au lendemain. Je sais que le changement demande du temps pour qu’il soit accepté par l’être humain. C’est un changement de paradigme et l’écologie personnelle est tout aussi importante.
Ce qui me semble en revanche envisageable par tout entrepreneur, c’est de se demander comment modifier/créer son produit pour parvenir à générer le moins de déchets possible dans quelques années. Dès le début de l’élaboration du produit réfléchir à son cycle d’existence jusqu’à sa mort comme à notre propre cycle.
Nous savons que la mort est inéluctable.
Pour moi le début de l’action écologique est d’imaginer l’irréalisable aujourd’hui pour trouver les opportunités pour y parvenir demain.
Samuel Tomatis nous montre le chemin.
Mon vœu est que les entrepreneurs aient autant d’entrain à créer des business lucratifs qu’à créer des produits écologiques.
Qu’ils mettent tous leurs potentiels créatifs au service du vivant.
Ma mission de Directrice Administrative et Financière est d’accompagner les entrepreneurs dans ces réflexions pour trouver les solutions écologiques et financières.
Le rôle de la Con.mp.teuse est de s’inspirer du vivant, de l’art, du beau pour soutenir les dissonances et accepter ce qui est.
Alors votre ambition est de changer le monde du vivant, rencontrons-nous pour imaginer votre avenir pour nous préserver.
Nous ne sommes pas seuls pour trouver des solutions.
Contactez-moi, je suis prête.
Pour préserver votre écologie personnelle, il est important d’identifier vos besoins. Emergence et *Le chemin pour incarner mon futur* sont deux formats différents que je vous propose pour vous reconnecter au vivant, vous-même.